LA COTE MARITIME.
LA MER
Chlef peut se targuer d'avoir le titre de ville balnéaire du centre, en effet le chef lieu de la wilaya est situé à 50 kilomètres du bord de la mer méditerranée et dispose d'un littoral de
Tous les atouts touristiques sont réunis dans ces endroits idylliques, la mer et le maquis, un grand espace conquit par les pins maritimes omniprésents et qui forment un véritable éden de la tranquillité et du repos pour les estivants et les vacanciers amoureux de la grande bleu et de la foret avec son sous bois apaisant.
Ce littoral à la vue panoramique demeure inviolée pour le moment par les sites touristiques est reste sauvage au grand bonheur des épris de la nature.
Les rivages qui bordent la mer sont formés par de grandes étendues rocheuses et de petites plages aux sables fins et quelques étendues de galets ou il est agréable de planter son parasol en été et de s'étendre sur le sable, tout en prenant un bain desoleil, tout près des petites vagues qui viennent vous caressez les orteils du pied.
Cette magnifique région, compte trois grands repères connus, le phare de tenes, le phare colombi, et le port, qui ont fait une réputation de ces lieux.
L'environnement reste très sain sur ce littoral qui demeure a l'abri pour le moment de toutes menaces polluantes, n'empêche que les autorités doivent multiplier plus de vigilance pour maintenir un contrôle rigoureux de ces espaces pour la protection, du sable, des galets, et de la faune environnantes toujours visées et convoités par les ennemis de la nature
L e plan bleu de cette region doit etre respecté et controlé rigoureusement pour l'application des recommandations d' urbanismes et d' architectures .
La mer appartient a tout le monde , donc les limites de la mer doivent rester accessible a tous , et l'esprit de ce plan qui est universel ne doit pas toleré l'anarchie des constructions aux bords des rivages , ni les constructions habitaient et inachevées et mal-façonnées.
La plus part de ces plages quI forment le littoral de la wilaya sont de petites criques, des mini –baies coincées entrent des falaises rocheuses ou nichent des espèces d'oiseaux en voies de disparition , tel l'épervier .
Les coins les plus réputés, sont le dattier, Kef kala, taghzout, ain hamadi, elmarsa, el-guelta, pour le coté ouest, et pour l'extrême il y a boucheral, oued goussine, et béni haoua.
La mer qui était très poissonneuses dans un passé récent, a perdu subitement cette réputation, ce n'est plus l'abondance d'hier, la multiplication des chalutiers, et des petites barques de pêches, ont portés des coups sérieux à cette richesse maritime exterminée par la pêche excessive.
Les amateurs de pêches à la canne qui sont très nombreux, et qui faisaient hier de très bonnes parties de pêches en une nuit, reviennent souvent bredouillent a cause de la disparition de la plus part des espèces côtières.
Peut être que nos poissons aussi préfèrent la harga ? Sûrement que de l'autre coté ils sont mieux protégés qu'ici ?
Pour cela il reste beaucoup a faire, pour entretenir et sauvegardé ce magnifique littoral, tel que nous l'avons hérité, la sensibilisation ne réglera pas le problème, il faut inculqué une discipline répressif a l'encontre de tout ces actes délictueux, pour que la mer, cette étendue bleue qui est notre nourricière soit respectée
ADEL
