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il y avait beaucoup d’artisans, des petits métiers tel que la maroquinerie
les travailleurs de cuivre des cordonniers des tisseurs etc etc dans ce coin de la ville malheureusement tout a disparu avec la modernité et bien sur les catastrophes qu'avait connu la région, à chaque il y a une mutation vers un nouveau mode de vie dans un décor complètement
différent du précédent,le destin a voulu qu'elle soit ainsi.il faut qu'on s'y
adapte,si dieu le veux .
CE VISAGE DE LASNAM JE NE L AI PAS CONNU.MES PARENTS L ONT CONNU JUSQU AU SEISME DE 54 QUI LES A SURPRIS A CARMELA (belattar et yezli).LES YEZLI ONT DEMENAGE A LA FERME ET LES BELATTAR A LA CITE.J AI PASSE MA JEUNESSE PRES DU CHELIFF Où JE ME BAIGNAIS L ETE ET JOUAIS AU FOOT TOUTE L ANNEE AVEC GHOLAM LARBI ET SON EQUIPE JUSQU AU JOUR Où NOUS SOMMES PARTIS LOGER EN 1963 A CITE BENEDDINE PAR DECISION PREFECTORALE.
je ne vois pas carméla ici,elle est plus a droite de la photo. j'ai 63 ans ma mére est né a carméla.en 1930.ils étaient bien,mais pas heureux. je vois bien l'fireme tehtani vers le pont.j'habite l'fireme el-fougani.
Il y avait de l'eau bleu dans l'Oued chelif
Et carmela était toute boisée et verdâtre
Les gens devaient être sans doute très heureux à cette époque de leur ville
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