Des plaques à côté de la plaque-Le Quotidien d'Oran du 28/09/2022
Les plaques il y en a beaucoup sur les chemins que nous empruntons chaque jour. Il y a les plaques de signalisation qui sont fixées et plantées dans le sol pour réglementer la circulation routière, hélas, cela ne sert que de décor pour les chauffards. Les plaques signalétiques du code de la route sont souvent arrachées de leurs emplacements, elles sont vandalisées et jetées ou encore volées. Il y a aussi les écriteaux dits professionnels qui pullulent à côté des plaques de signalisation, des plaques indiquant l'emplacement de métiers et professions en tous genres.
Notre existence est vraiment à côté de la plaque dans ce labyrinthe compliqué qui nous égare au milieu de toutes ces enseignes. Toutes les plaques, quelles que soient leurs raisons, indiquent un chemin ou une adresse qui offre une prestation de service. Un panneau indicateur ou une plaque, nous indique généralement un lieu d'activité. Et toutes ces pancartes nous interpellent lorsque nous passons à côté de la plaque. Il y a des plaques accrochées sur les troncs d'arbres, il y en a même qui sont accrochées sur les poteaux électriques, sans oublier celles qui sont fixées sur les murs. Des plaques gribouillées dans toutes les langues, arabe, français anglais et même en charabia avec des inscriptions, parfois, ridicules. Il y a même des plaques schématisées avec des croquis pour ne pas se perdre. Tout ce décor de plaques et de panneaux improvisés dans nos rues, souvent fixées d'une manière irréfléchie, démontre l'anarchie qui infeste la voirie. Entre la plaque indicatrice et la plaque signalétique réglementaire, il y a la plaque informelle qui gâche le paysage. Il y a un proverbe populaire qui dit ; «Koul tayr,yelgha belghah», (chaque volatile y va de sa voix).
Il était une fois, en parlant de la belle époque, des plaques émaillées ou en céramique soigneusement écrites et qui ornaient les placettes, les coins de rues et les murs pour indiquer un lieu ou un passage ou faire de la publicité d'un produit ou d'une marque. Aujourd'hui, chaque jour qui passe, on découvre de nouvelles plaques signalétiques hideuses, qui s'ajoutent aux autres et qui viennent défigurer la rue.
Notre existence est vraiment à côté de la plaque dans ce labyrinthe compliqué qui nous égare au milieu de toutes ces enseignes. Toutes les plaques, quelles que soient leurs raisons, indiquent un chemin ou une adresse qui offre une prestation de service. Un panneau indicateur ou une plaque, nous indique généralement un lieu d'activité. Et toutes ces pancartes nous interpellent lorsque nous passons à côté de la plaque. Il y a des plaques accrochées sur les troncs d'arbres, il y en a même qui sont accrochées sur les poteaux électriques, sans oublier celles qui sont fixées sur les murs. Des plaques gribouillées dans toutes les langues, arabe, français anglais et même en charabia avec des inscriptions, parfois, ridicules. Il y a même des plaques schématisées avec des croquis pour ne pas se perdre. Tout ce décor de plaques et de panneaux improvisés dans nos rues, souvent fixées d'une manière irréfléchie, démontre l'anarchie qui infeste la voirie. Entre la plaque indicatrice et la plaque signalétique réglementaire, il y a la plaque informelle qui gâche le paysage. Il y a un proverbe populaire qui dit ; «Koul tayr,yelgha belghah», (chaque volatile y va de sa voix).
Il était une fois, en parlant de la belle époque, des plaques émaillées ou en céramique soigneusement écrites et qui ornaient les placettes, les coins de rues et les murs pour indiquer un lieu ou un passage ou faire de la publicité d'un produit ou d'une marque. Aujourd'hui, chaque jour qui passe, on découvre de nouvelles plaques signalétiques hideuses, qui s'ajoutent aux autres et qui viennent défigurer la rue.
