Un jour la planète périra-Le Chélif du 01/12/21
Un jour la planète périra
Le Chélif du 01/12/21
Par Hamid Dahmani
Un jour la terre explosera et l’être humain crèvera comme un ballon de baudruche avec, pour avoir dédaigné la vie et son bonheur. Un jour ou l’autre ce misérable minable emportera avec lui sa haine envers la nature et son animosité envers les autres humains qui protège la terre. Un jour viendra peut être, ou ce sera le déluge sur cet immense caillou dénudé de sa carapace. Ainsi, un jour il ni y aura plus de vie sur cet espace appelé terre comme avant le Big bang. L’être humain, cet odieux énergumène, est le premier responsable de cette dévastation planétaire sous l’impulsion et la protection des puissances industrialisées dénommés « créateurs de richesses ». L’homme politique est un hypocrite. C’est un exterminateur sans cœur motivé par de gros intérêts. Il aime détruire de sa main la nature et tuer la vie animale juste pour son plaisir de tuer le temps et son environnement. Il a ruiné le monde qui nous nourri et qui nous accueil dans son bien être. Il brûle et coupe des forets primaires entières, juste pour assouvir son aisance. Il pollue et pille les mers, les lacs et les rivières, et demain ce ne seront que des endroits asséchés à la place des vastes océans. Bientôt, Il n’y aura que des paysages morts et sans vie à perte de vue. L’être humain est méchant, abruti et un demeuré qui n’aime pas la vie. Un jour, cet être destructeur qui n’aime pas le bonheur éclatera comme la grenouille, qui voulait être aussi grosse que le bœuf. Viendra un jour, ou l’homme, ce puissant ingrat périra de sa main à cause de son entêtement à vouloir déposséder la terre de ses richesses naturelles qui équilibrent notre bien être. Les plus puissants de cette terre, n’ont que faire des lois qui protègent le patrimoine ou l’environnement sain qui font respirer les humains et la nature. Les fortunés et les parvenus sont des à fous à lier, ils veulent faire plier la terre et l’exproprier de son âme vivante. Qui vivra verra qui aura le dernier mot. « El’khbar ijibouh etouala !». Les esprits maléfiques veulent dominer la nature, et les hommes quoiqu'il advienne après. Tout s’accélère durant ces dernières décennies. Les forets brûlent et la faune est décimée. Les glaciers sont entrain de fondre. L’épidémie s’est enracinée au cœur de cette planète qui nous accueille. La faim et les grandes pénuries d’eaux potables nous guettent. Les hostilités sont déjà engagées prés des frontières. La paix est menacée par les dominateurs. Les signes avant-coureurs, nous les vivons tous les jours. Les humains ne sont pas conscients de l’enfer qui les attend.
H. D.
